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Pedro Alonso

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28 Oct 2022

Godard, Paris, Berlin. L'amour, la vie, la vie. Le temps quantique. #berlínnetflix #Nous aurons toujours Paris. (Foto de tamara_arranz) 🇫🇷💎⚒🪓🦚🧨⌛️⚙️❤️🗿🗼🔮. Au cours des semaines (mois pour certains départements de l'équipe) de préparation de Berlin, j'ai ressenti une certaine électricité face aux défis de la série, celle qui présage parfois des tempêtes tropicales derrière lesquelles on ne peut qu'espérer un monde nouveau, encore inconnu. En raison de l'attente, de l'évolution du matériel original dont est né le spin-off vers de nouveaux mondes, du ton particulier et de l'exercice de style dans le nouvel univers que nous allions commencer à parcourir, si paradoxal. Puis vint Paris pour commencer le tournage (pour un bon nombre de semaines encore), une ville aussi belle que "délicate" à tourner si longtemps d'un seul coup dès le début de ce nouveau voyage. Pour une multitude de raisons, le départ avait tout le vertige et l'incertitude de ces expéditions habitées de la NASA dans l'espace. Imaginez tout ce que l'astronaute peut ressentir juste avant le décollage. Mais le fait est que nous venons de dire au revoir à Paris (pour l'instant), et que notre vaisseau spatial avance, déterminé et léger, vers les entrailles de la Voie lactée. Comme si elle flottait. Une accolade à toute l'équipe française. Ce fut un plaisir de marcher à vos côtés. Et aux nôtres : qui peut dire exactement vers quels nouveaux mondes nous nous dirigeons et quels aléas nous allons rencontrer, mais il est clair que nous y allons à fond, et il est temps de lâcher du lest et de frapper le tambour avec toute la magie, mes amis. vancouvermediaproducciones 🙏🏻🦚

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26 Oct 2022

#berlinnetflix Por momentos “lo veo y luego de pronto, no lo creo”. Cada vez ahí, es por “cosas de la cabeza”. La cabeza, ese órgano prodigioso, secuestrado tantas y tantas veces por un mono parlanchín que se empeña siempre en explicarnos hasta el más mínimo detalle. Ese mono. Tan distinto al mono genuino. Aquel que aún puede encontrarse si uno se pierde bien adentro de la selva vestido para la ocasión con un smokin. Arnado únicamente con ganas de seguir al tambor, comer del fruto prohibido y sin pensar ni una décima en los pobres y alienantes términos de lo que está bien. O está mal. Así que ni una concesión contigo, monito loco, impostor del verdadero mono, mi auténtico hermano. Ni una tregua. Prepárate porque ya solo toca ponerse a bailar. Como si no hubiese un mañana. Y además ligeros. Más ligeros. Cada vez más ligeros. Y en canal. 🦧🌋🌶🕺🏼 At times "I see it and then suddenly I don't believe it". Every time, it's because of "things in the head". The head, that prodigious organ, kidnapped so many times by a chattering monkey who always insists on explaining to us even the smallest detail. That monkey. So different from the genuine monkey. The one that can still be found if you get lost deep in the jungle, dressed for the occasion in a tuxedo. Armed only with the desire to follow the drum, eat the forbidden fruit and not give a tenth of a thought to the poor, alienating terms of what is right. Or wrong. So not a concession with you, you crazy little monkey, impostor of the real monkey, my real brother. Not a truce. Get ready because now it's just time to dance. Like there's no tomorrow. And light too. Lighter. Lighter and lighter. And in the channel.

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